Mise
en abyme ( Boris Perrin )
Si l’on plisse les yeux, le monde nous apparaît comme une vaste scène de théâtre. La pièce qui est jouée c’est la vie dans laquelle nous sommes à la fois les acteurs et les spectateurs.
Par mon travail , je tente de saisir des petites choses de ce theatrum mundi. Les quelques éléments collectés, sont réassemblés mentalement,et la mécanique de l’imagination permet de reconstruire une perspective dans laquelle peut se rejouer le spectacle de l’univers.
Dans le cadre de cette recherche , j’explore notamment la question des lieux en recréant des décors picturaux. Ces fresques redéfinissent des paysages contraints dans une composition subjective dans laquelle les points de vue sont multiples. La mise en scène permet d’orienter la lecture, de suggérer des idées et ouvre la porte à l’interprétation. La mise à plat imposé par la peinture se renverse alors pour redéfinir une nouvelle spatialité dans laquelle l’intrigue
peut s’emparer du spectateur.
Ma collaboration avec Raymond Gierlowski me permet de faire raisonner cette vision au travers de son travail. Ses sculptures en céramique se transforment en protagonistes pour ces décors imaginaires. Un triple dialogue se met alors en place entre les œuvres sculptés, les fresques qui leur servent de décors et le spectateur. Ces connections
permettent d’aborder différents thèmes, comme le temps, les éléments,ou les émotions, et donnent un sens aux différentes pièces exposées pour raconter des histoires.
Si l’on plisse les yeux, le monde nous apparaît comme une vaste scène de théâtre. La pièce qui est jouée c’est la vie dans laquelle nous sommes à la fois les acteurs et les spectateurs.
Par mon travail , je tente de saisir des petites choses de ce theatrum mundi. Les quelques éléments collectés, sont réassemblés mentalement,et la mécanique de l’imagination permet de reconstruire une perspective dans laquelle peut se rejouer le spectacle de l’univers.
Dans le cadre de cette recherche , j’explore notamment la question des lieux en recréant des décors picturaux. Ces fresques redéfinissent des paysages contraints dans une composition subjective dans laquelle les points de vue sont multiples. La mise en scène permet d’orienter la lecture, de suggérer des idées et ouvre la porte à l’interprétation. La mise à plat imposé par la peinture se renverse alors pour redéfinir une nouvelle spatialité dans laquelle l’intrigue
peut s’emparer du spectateur.
Ma collaboration avec Raymond Gierlowski me permet de faire raisonner cette vision au travers de son travail. Ses sculptures en céramique se transforment en protagonistes pour ces décors imaginaires. Un triple dialogue se met alors en place entre les œuvres sculptés, les fresques qui leur servent de décors et le spectateur. Ces connections
permettent d’aborder différents thèmes, comme le temps, les éléments,ou les émotions, et donnent un sens aux différentes pièces exposées pour raconter des histoires.
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